Aménagement et développement du territoire
Pour une économie au service de l'humain
L’aménagement et le développement du territoire doivent faciliter la vie sociale.
Pour cela, l’aménagement et le développement du territoire doivent faciliter les productions, la circulation des personnes et des marchandises, les communications à distance, le commerce, l’artisanat…
L’objectif est de répondre au mieux aux besoins de la population tout en économisant l’énergie autant que possible.
Beaucoup d’énergie est gaspillée dans la société actuelle pour protéger les privilégiés de manière excessive.
Une vie sociale fondée sur la coopération et le partage facilitera les productions locales et une qualité de vie qui favoriseront une autorégulation de la consommation.
Ce mode de vie permettra ainsi de substantielles économies d’énergie.
L’aménagement et le développement du territoire, sous responsabilité de l’état, seront repensés en observant le principe de solidarité.
Ainsi seront écartées les pratiques parasites des groupes de pression.
Par l’application des nouvelles règles économiques, l’environnement et la qualité de vie seront privilégiés.
Par exemple, les logistiques longues distances seront traitées par voies ferrées ou autres procédés qui répondront à l’économie de moyens et à la préservation de l’environnement.
La fusion froide et d’autres procédés de mieux en mieux expérimentés par la physique, devraient répondre à moyen terme aux besoins énergétiques, sans dégradation de l’environnement.
L’utilisation de cette énergie est envisageable dans une vingtaine d’années, à la condition de fournir les moyens nécessaires aux scientifiques qui ont déjà avancé dans ce domaine.
Toutefois l’action immédiate devra s’appuyer sur les énergies disponibles, tout en développant abondamment les énergies renouvelables comme l’éolien ou l’énergie marée-motrice… et en activant le développement des énergies de l’avenir.
Les transports, lieux et espaces publics seront rendus facilement accessibles aux handicapés.
Les villes sont le lieu privilégié de la vie sociale.
A ce titre, les villes bénéficieront d’une grande attention et de tous les moyens nécessaires à l’expression de cette vie sociale.
Leurs périphéries devront revenir autant que possible à des espaces d’agriculture vivrière.