L’environnement, une priorité majeure
Pour un plus grand respect de la nature
La nature est la première de nos richesses.
La qualité environnementale est liée au progrès humain dans la dignité.
Laquelle dignité se vérifie lorsque chaque homme est respectueux de l’environnement par respect de lui-même et de ses semblables.
Préserver l’environnement est une des priorités majeures du projet d’Avenir Solidaire, pour la simple raison que la qualité environnementale est un élément fondamental de la richesse dans le projet économique d’Avenir Solidaire.
Le respect de l’homme envers lui-même, envers ses semblables et envers la nature fait partie des principes essentiels de la vie sociale.
Ce respect grâce auquel on peut construire en confiance, aura une part essentielle dans l’éducation.
Afin d’éviter des attitudes préjudiciables à l’environnement (pour cause de rentabilité ou de développement d’éventuelles puissances privées) la recherche scientifique publique et les activités à risques seront exclusivement financées par des fonds publics et rigoureusement contrôlées par l’État.
Particulièrement, les pollueurs seront les payeurs.
Un des aspects de la relation de l’homme à son environnement tient aux priorités établies.
Depuis plus de quarante ans les pays riches prétextent vouloir sauver la planète, tout en accentuant la compétition et la surproduction.
C’est par la coopération et le partage que l’humanité retrouvera sa dignité et le respect d’elle même.
C’est en retrouvant sa dignité et le respect d’elle-même que l’humanité trouvera la vigueur nécessaire pour sauver la planète.
Lorsque chaque homme pourra vivre dignement dans son pays en mangeant à sa faim avec une nourriture saine provenant d’une agriculture de proximité, alors la planète sera sauvée ainsi que l’humanité, sans avoir particulièrement cherché à protéger les animaux ou la nature.
La volonté de sauvegarder l’environnement et l’humanité entraînera certaines mesures protectionnistes pour se préserver des prédateurs internationaux.
Un autre aspect de la relation de l’homme à son environnement tient aux rythmes biologiques.
Il est donc urgent de remédier aux rythmes contraires à la nature, qui n’apportent rien d’essentiel à la société.
—L’horaire d’été est un exemple significatif.
Il est perturbant pour les enfants, les personnes âgées, les agriculteurs, les travailleurs assumant des travaux pénibles exposés aux intempéries, et certainement pour tous ceux qui, de ce fait, en été, se couchent avec le jour et se lèvent avec la nuit.
Pour ces raisons, liées à la recherche d’un meilleur bien-être pour les personnes défavorisées, l’horaire d’été doit être supprimé.
S’il est compréhensible qu’un décalage permanent d’horaire par rapport au soleil soit institué, pour favoriser certains types de relations humaines, il est difficile d’admettre l’utilité d’un décalage semestriel dont l’économie d’énergie ne fut qu’un prétexte.—