Financement de ce projet pour la France…
Il sera facilement financé.
Des rentrées fiscales supplémentaires…
Ce projet sera financé par d’importantes rentrées budgétaires supplémentaires dans les caisses de l’État.
La suppression des niches et des évasions fiscales, et la régularisation de la dette des grandes entreprises à l’URSSAF, permettront de rentrer plus de deux cent cinquante milliards (250 M) de Francs (équivalents Euros).
La relocalisation des entreprises devrait faire rentrer plus de cinquante milliards (50 M) de Francs (équivalents Euros), grâce aux impôts relevant de l’augmentation de la masse des salaires et des bénéfices des entreprises.
Le remboursement anticipé de la dette publique, en empruntant sans intérêt à la Banque de France, enfin redevenue Banque nationale, sous responsabilité du gouvernement, économisera chaque année plus de cent cinquante milliards (150 M) de Francs (équivalents Euros), représentant les intérêts et le principal de cette dette.
Environ cent milliards (100 M) de Francs (équivalents Euros) devraient revenir sous forme d’impôt sur le revenu par le seul fait de l’attribution du revenu vital.
Voici déjà plus de cinq cent cinquante milliards (550 M) de Francs (équivalents Euros), en plus dans les caisses de l’État.
Financement du revenu vital…
Le revenu vital remplacera toutes les aides actuelles.
Il sera donc en partie financé par les transferts de trésoreries qui correspondent à ces aides, soit :
§ Plus de cent milliards (100 M) pour le chômage.
§ Plus de cent milliards (100 M) pour les aides aux familles.
§ Environ cinquante milliards (50 M) pour des aides diverses, y compris celles octroyées par les collectivités territoriales.
§ Soit un total d’environ deux cent cinquante milliards (250 M) de Francs (équivalents Euros).
Le revenu vital, pour soixante-sept (67) millions de Français, avec une base de 1 000 Francs (équivalents Euros) par personne et par mois, coûtera environ huit cent milliards (800 M).
En cumulant les cinq cent cinquante milliards (550 M) de rentrées fiscales supplémentaires, les deux cent cinquante milliards (250 M) de transferts de trésorerie, le revenu vital sera largement financé.
En effet, le revenu vital sera progressivement attribué sur un an.
Cette progressivité permettra une attribution en douceur.
Ainsi, grâce à la dynamisation des activités sociales, cette progressivité générera une circulation monétaire plus importante, toujours contrôlable pour assurer l’équilibre les échanges, qui générera aussi d’autres rentrées fiscales.
Le financement du revenu vital sera donc facilement assuré.
Compensation de la TVA…
La suppression de la TVA sera compensée par l’impôt sur le revenu.
Cette nouvelle pratique allégera la fiscalité des revenus faibles et, relativement, des revenus moyens.
Compensation des taxes sur les produits pétroliers et divers…
La suppression de ces taxes sera compensée par l’impôt sur le revenu.
Financement des nationalisations…
Les nationalisations seront simplement financées par les bénéfices des activités normales des entreprises nationalisées.
Financement des retraites et cotisations sociales…
Les retraites et cotisations sociales seront financées par le transfert de la trésorerie des caisses de retraites dans le budget de l’État et par l’impôt sur le revenu.
Des emprunts sans intérêt…
Des emprunts sans intérêt pourront être contractés par l’État auprès de la Banque de France, afin de compenser certains décalages entre les rentrées et les sorties de trésorerie.
Ces emprunts ne seront pas indispensables ; ils serviront surtout à financer en douceur cette transition sans perturber la nouvelle dynamique nationale.
Des émissions monétaires…
La nouvelle dynamique économique en développant la véritable richesse, permettra d’émettre de la monnaie tout en lui gardant la même valeur dans les échanges internationaux.
Cette création monétaire facilitera aussi la transition et limitera d’autant le montant des prêts contractés par l’État auprès de la Banque de France.
Pas de risque de dérapage financier…
Le plan de financement de ce programme est établi pour être réalisé sans risque de dérapage financier.
Les seules personnes pouvant trouver ce plan de financement détestable, seront probablement les très grandes fortunes aux origines incertaines, les diverses fortunes principalement issues de la spéculation, ou les multinationales.