Étendre la coopération internationale
Pour plus de solidarité, de paix et de fraternité entre toutes les nations
Les pays riches doivent entreprendre d’urgence les actions nécessaires pour supprimer la famine et réduire la pollution.
Les échanges monétaires et commerciaux doivent être équilibrés et régulés.
Chaque État-nation doit avoir le droit de battre librement sa monnaie et de l’utiliser dans ses échanges avec les autres pays.
Les monnaies doivent être réajustées selon des valeurs plus conformes aux véritables richesses.
La coopération internationale et le partage équitable des ressources et des richesses seront le signe d’un respect mutuel entre pays riches et pays pauvres ou en développement.
Ce respect mutuel sera un indicateur très clair d’une prise de conscience mondiale.
Ce comportement digne de l’homme se révèlera par la suite comme un indicateur fiable de la préservation de la planète.
Certains points devront être particulièrement observés par rapport aux pays pauvres.
Annulation immédiate et réelle de la dette des pays pauvres.
Aide d’urgence pour nourrir les populations.
—Dans un premier temps, une division de l’ONU devrait disposer des surplus alimentaires de la planète pour les répartir selon les besoins.—
L’aide d’urgence pour nourrir les populations devra progressivement laisser la place aux moyens nécessaires pour permettre aux pays pauvres d’atteindre leur autonomie alimentaire.
Les exportations alimentaires des pays pauvres vers les pays riches doivent être strictement régulés pour éviter la malnutrition.
Développement des moyens d’autonomie des pays pauvres dans les autres domaines prioritaires tels que la santé, l’éducation, le logement, l’urbanisme, les transports, les déchets, l’énergie, l’eau… par des transferts de technologies et de savoir-faire, ainsi que par des prêts sans intérêts.
Les pays riches doivent aider au développement de l’éducation et de la santé des pays pauvres, en y incorporant autant que possible le planning familial, dans le respect de leurs cultures.
Les échanges de matières premières pourront être équitablement organisés, après que les pays exportateurs auront normalement assumé leurs besoins internes.
—Une division de l’ONU pourrait tenir en réserves l’ensemble des ressources mondiales disponibles, indispensables au bien-être humain.—
Les jeunes à la fin de leurs études, seront encouragés à participer à des périodes de coopération.
La coopération internationale devra permettre à chaque être humain de vivre dignement dans son pays.